De là où nous regardons, il n'y a pas que des images,
ce que la vue ne peut capter et nous en son centre,
une autre vérité en perpétuelle métamorphose
Ce ne sont plus des paysages, ni même des visages d'anges
mais des gerbes indéfinies de particules tourmentées.
Une nouvelle fois en tournant, passer au même endroit,
danser dans le cercle en se laissant porter.
De là où nous regardons, les abîmes sont immenses
Ce que la raison nous interdit, sauter dans le vide
Un autre sol se dessine, aussi stable que les cyclones
ce n'est pas qu'un tourbillon, avec éclairs et rafales
mais un livre ouvert sur le secret des âmes.
Une nouvelle fois en tournant, passer au même endroit,
danser dans le cercle en se laissant porter.
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